Méroë : son origine

Dans ses Antiquités judaïques (II, 10, 2) Flavius Josèphe (37-95) dit à propos de Méroë que : « C’était une place extrêmement difficile à enlever : le Nil l’entourait d’un cercle ; d’autres fleuves, l’Astapos et l’Astaboras, rendaient l’attaque malaisée à ceux qui tentaient d’en franchir le cours. La ville se trouvant à l’intérieur, est comme une île ; de fortes murailles l’enserrent et, contre les ennemis, elle a pour abri ses fleuves, ainsi que de grandes digues entre les remparts, de sorte qu’elle ne peut être inondée, si la crue vient à être trop violente ; et c’est ce qui rendait la ville imprenable même à ceux qui avaient passé ses fleuves ».

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Lettres d’Afrique antique  :

La plus ancienne langue écrite d’Afrique noire, Le méroïtique dont les signes sont identifiés depuis 1911, témoigne des riches heures de la civilisation de Nubie.

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